I/Outil de la souffrance ~
« Que cherchez vous ? Un poison ? Un antidote ? Un médicament peut être.. »
Il était devant cet apoticaire, dans ce village aux apparences paisibles et sans histoires, on lui avait posé une question, il ne répondit pas; dumoins pas oralement. Il tendit un papier sur le quel était griffonné des notes, il le tendit à l'homme. Il attendait la réaction du viel homme aux binocles en demi lune, celui ci prit le morceau de parchemin et le lu, silencieusement, il semblait troublé, l'ancêtre. Amakuni posa la main sur le comptoir et tapota du bout de ses doigts, signe d'impatience, l'herbologiste dévisagea son vis à vis, on vit dans ses yeux le reflet du visage pâle du Yasutsuna. D'une main tremblante si ce n'était haltante il posa le papier sur le bois sec du comptoir et reprit la parole.
« Ce sont des ingrédients... vous voulez que je créé la solution ? Mais qui vous dit que j'ai tout ça en stock ? Et même si je l'avais, il vous en couterait quelques joyaux... bromure de methyl, bais de belladone, sang d'argue, poudre noir, de mandragore... Que d'ingrédients exotiques pour un poison des plus... enfin, vous avez de l'argent ? »
« ... ... »
Il ne prononça nul mots, et ne sorti aucune piécette que quelques valeurs, mais aux lieu de cela, il posa devant le viellard l'une de ses lames, il savait que celui ci était connaisseur, par simple intuition, ou plutôt car il avait vu son regard se poser sur son Kimono, sur ses armoiries. Se séparer de l'une de ses lames lui côutaient cher, mais il aurait ce qu'il voulait, deplus ses armes, derniéres créations de son clan de forgerons, devaient valoir une bonne partie de l'or du monde. Dériére ses cheveux noir il regarda l'ancêtre bossu en patientant, l'observant, lui et sa réaction, le vieu le regarda attentivement, comme surpris, il posa un doigt sur sa bouche, faisant signe de silence. Pour simple réponse, le commerçant posa une boîte en bambou à côté de la caisse enregistreuse, et reprit le monologue..
« Hum... plus que des ryos, une lame de Massamune Yasutsuna... pour ça, je vous donne un stock de vin de bachus ainsi que l'antidote... Bien que voulez vous faire avec cela ? »
Rare exeption, le juunin parla, peu, mais parla. « Empoisonner une arme. »
« Ah... je vois, vous devez connaître les effets de ce poison alors... je vous les rappelle : détérioration des céllules et paralysie progréssive. L'antidote doit être administré dans les deux minutes qui suivent. Parcontre, je ne vous ai jamais vu, je ne veux pas avoir de probléme avec... L'actuel pouvoir du pays. »
« Parfait »
L'échange fu clos, Amakuni se retourna et laissa son arme dans le cabanon, une nouvelle destination, qu'il connaissait bien, l'attendait à quelques jours de marche. Sa destination n'était autre que; trois ans aprés; les vestiges des fonderies de Yasutsuna en pays de la terre. Il savait une chose, bien qu'aujourd'hui de Konoha, il ne serait pas inquiété en pays de la terre, ses origines, ses armoiries, son arme était sa carte d'identé, et ce serait bien les seuls choses qui lui resteraient à jamais. Les quelques jours de marches défilérent à grande vitesse, cette marche vers une issue plus que certaine lui permit de réfléchir à la maniére par la quelle il mettrait en oeuvre sa vengeance, la maniére, la tactique, la startégie, il ne restait plus que ça, l'un des deux outils étant en sa possétion, et l'autre qui le serait dans peu de temps.
Il était devant cet apoticaire, dans ce village aux apparences paisibles et sans histoires, on lui avait posé une question, il ne répondit pas; dumoins pas oralement. Il tendit un papier sur le quel était griffonné des notes, il le tendit à l'homme. Il attendait la réaction du viel homme aux binocles en demi lune, celui ci prit le morceau de parchemin et le lu, silencieusement, il semblait troublé, l'ancêtre. Amakuni posa la main sur le comptoir et tapota du bout de ses doigts, signe d'impatience, l'herbologiste dévisagea son vis à vis, on vit dans ses yeux le reflet du visage pâle du Yasutsuna. D'une main tremblante si ce n'était haltante il posa le papier sur le bois sec du comptoir et reprit la parole.
« Ce sont des ingrédients... vous voulez que je créé la solution ? Mais qui vous dit que j'ai tout ça en stock ? Et même si je l'avais, il vous en couterait quelques joyaux... bromure de methyl, bais de belladone, sang d'argue, poudre noir, de mandragore... Que d'ingrédients exotiques pour un poison des plus... enfin, vous avez de l'argent ? »
« ... ... »
Il ne prononça nul mots, et ne sorti aucune piécette que quelques valeurs, mais aux lieu de cela, il posa devant le viellard l'une de ses lames, il savait que celui ci était connaisseur, par simple intuition, ou plutôt car il avait vu son regard se poser sur son Kimono, sur ses armoiries. Se séparer de l'une de ses lames lui côutaient cher, mais il aurait ce qu'il voulait, deplus ses armes, derniéres créations de son clan de forgerons, devaient valoir une bonne partie de l'or du monde. Dériére ses cheveux noir il regarda l'ancêtre bossu en patientant, l'observant, lui et sa réaction, le vieu le regarda attentivement, comme surpris, il posa un doigt sur sa bouche, faisant signe de silence. Pour simple réponse, le commerçant posa une boîte en bambou à côté de la caisse enregistreuse, et reprit le monologue..
« Hum... plus que des ryos, une lame de Massamune Yasutsuna... pour ça, je vous donne un stock de vin de bachus ainsi que l'antidote... Bien que voulez vous faire avec cela ? »
Rare exeption, le juunin parla, peu, mais parla. « Empoisonner une arme. »
« Ah... je vois, vous devez connaître les effets de ce poison alors... je vous les rappelle : détérioration des céllules et paralysie progréssive. L'antidote doit être administré dans les deux minutes qui suivent. Parcontre, je ne vous ai jamais vu, je ne veux pas avoir de probléme avec... L'actuel pouvoir du pays. »
« Parfait »
L'échange fu clos, Amakuni se retourna et laissa son arme dans le cabanon, une nouvelle destination, qu'il connaissait bien, l'attendait à quelques jours de marche. Sa destination n'était autre que; trois ans aprés; les vestiges des fonderies de Yasutsuna en pays de la terre. Il savait une chose, bien qu'aujourd'hui de Konoha, il ne serait pas inquiété en pays de la terre, ses origines, ses armoiries, son arme était sa carte d'identé, et ce serait bien les seuls choses qui lui resteraient à jamais. Les quelques jours de marches défilérent à grande vitesse, cette marche vers une issue plus que certaine lui permit de réfléchir à la maniére par la quelle il mettrait en oeuvre sa vengeance, la maniére, la tactique, la startégie, il ne restait plus que ça, l'un des deux outils étant en sa possétion, et l'autre qui le serait dans peu de temps.
II/Outil de la vengeance ~
Il fut arrivé à déstination. Il ne restait plus que des ruines de son village natal, les vestiges du palais et des affrontements gisaient là, à apeine un demi kilométre de lui. Quleques flash revinrent à la surface de sa mémoire, les temps 'heureux'; plus ou moins; passés avec les siens dériéres les mur, ainsi que ceux de la disparition de ses proches. Il avança d'un pas certain. Il se trouvait maintenant au sein du village, ou du moin à l'endroit où se trouvait jadis le monument érigé à la gloire du clan... Réduit à un simple bloc blanc rongé par les trois années. Etrangment, il se sentait observé. Sentiment à la hauteur de son intuition. Deux hommes se montrérent sur la place, sur l'ex place. Tout deux vêtu de vêtements sombre, portant au bras une plaque métalique, celle d'Iwa. Il savait qu'il en rencontrerait, des ninja d'iwa, malgrés la décadence passée du village. Ils le regardérent, le regardaient avec attention et non moins avec intention. Ils virent en un premier temps le bandeau à sa taille, au logo de Konoha, puis sur le point de passer à l'action, prirent conscience des armories présentes sur le kimono noir d'Amakuni. Ils furent encore plus surpris. L'un des deux, suite à cette auto révélation, prit la parole.
« Yasutsuna... c'est bien ça ? Clan des forgerons du pays de la roche, décimé par les troupes de Konoha il y a de cela trois ans, si je ne me trompe pas... le pays pensait que 'vous' étiez tous mort... mais apparament non... que faites vous ici ? »
« Je cherche quelque chose... » répondit il monotonement sans sourciller, dans un soupir à peine audible.
« Il n'y a plus rien ici... enfin, à part les hauts fourneaux qui ont été épargné... enfin, les batiments ne sont pas complétement détruit... nous allons vous laisser, et nous ne parlerons de vous à personne... adieu. »
Et les deux ninja disparurent dans un nuage blanc, lui les regarda disparaître et se dit simplement qu'ils étaient une perte de temps; il leur en voulait à eux aussi. Les deux Shinobi du pays eurent au moins fait une chose trouvant utilité, donner un précieux renseignement. Par ce fait, le ninja 'de' konoha se dirigea sans plus attendre vers les ruines des fonderies, un peu plus loins dériére un amas de pierre qui constituait naguére rien d'autre que le palais. D'aprés ses souvenirs, quelque chose y était entreposé, un symbol de la réussite terni du clan. Il en avait en tendu parler un jour de beau temps, lors d'une discussion entre ancien et jeune..
~Analepse#
« Les fourneaux sont interdits aux non forgeron du clan, je veux dire par là que vous comme moi ne pouvons y avoir accés, mais j'ai une question pour vous, celui qui y répond gagnera un bon point : que renferme les forges ? »
« Moi ! Moi ! Moi ... y a des armes, des objets en fer... »
« Oui, mais encore, le cour dernier y faisait pleinement référence, souvenez vous. »
« La Massamune, sensei. Une arme, selon la légende, forgée par Massamune Yasutsuna lui même; elle serait faite d'un alliage provenant des cieux et dotées de quelques pouvoirs sacré.. mais; d'aprés la légende... seul les descendants de Massamune peuvent la toucher, et il paraît aussi qu'elle serait protégée par un sceau... J'ai le bon point msieur ? »
« Oui, tu l'as, bien résumé en effet... »
#Fin de l'analepse~
Dans les forges se trouvaient le but du jeune ninja, et là il irait.... *Je dois aller dans les forges, je suis déscendant d'un chef de clan, si cette arme existe elle devrait me revenir, mon sang lui permettra de trouver la voix...* Il prit alors la direction des forges. Il arriva sur l'amas de débris du palais, le gravit, et vit à contre bas, cinq cheminée, cinq forges, enfin, ce qu'il en restait. Puis une pensée le traversa alors. Et si les hommes de Konoha l'avaient récupérés ? Il lui faudrait la chance à ses côtés sur ce point, mais le déplacement en vallait quand même le coup, si il repartait sans sa convoitise, il prendrait tout ce qui pourrait servir sa 'cause', son objectif. Il fut sur le site de production d'armes, se tenait, encore érigé, intacte, une réserve d'armes, à proximité il se dirigea vers celle ci et poussa la porte, elle était lourde, vielle, usée, grinçante. Il observa à la lueur du soleil qui avait du mal à percer l'intérieur du batiment d'un dizaine de métre carrés, il y avait quatre étagéres couverte d'épées et de Katana en tout genre, tous marqué par les forgerons du village, au fond se tenait contre le mur un squellette, que faisait il là ? Il s'approcha et l'éxamina, il tenait un mot dans les restes de sa main, un parchemin taché de sang ''Les cinq sont encore, ils sont aux points de l'étoile''. Une devinnette se dit il, il prit le morceau de parchemin pourpre de sang séché, et le glissa dans une poche intérieur de son Kimono. Puis il quitta la piéce, pour se diriger vers les forges, il s'apperçu rapidement que trois d'entre elles étaient complétement détruites, inexploitable. Il ne lui en restait dés lors plus que deux à fouiller. La premiére fouille s'avéra peu fructueuse, il trouva néanmoins quelques objets ayant appartenu aux forgerons probablement, des lunettes, une pince... d'autres objets sans intérêts, simple nostalgie, puis il pénétra dans la seconde, à l'intérieur, l'atmosphére était étrange, paisante, comme dépassant le cadre naturel. Il le sentait, comme le miel attire la mouche, là c'était autre chose, il n'eut de mal à se frayer un chemin au travers des décombres, vers un coffre en une espéce de métal noir au reflet arc en ciel, couvert de sceau qu'il n'eu jamais vu, il semblait avoir été brutalisé, malmené, surment par des personnes n'ayant pas réussit à l'ouvrir, à le dérober. Il approcha sa main, mais avant de la poser, lu les insciption dans un dialecte propre à son clan.
« רק היורש של מאסאמאן פאורראט לפתוח את הושה המגן על הכלי על ידי מכריח, עיסוי מ.א.נ.. כל אחד יפתה להתעלל בזה יקולל עד העיסוי הזה מ.א.נ. ימצא את היורשי »
« Seul l'héritier de Massamune pourrat ouvrir la porte sacrée protégeant l'outil de force, Massa-Mune. Quiconque tentera de l'abuser sera maudit jusqu'à ce que Massa-Mune trouve l'héritier »
La phrase était parlante, et criarde de vérité, là se trouvait le but tant recherché d'Amakuni : Massamune.
Il posa finalement ses mains sur le coffre massif Pour essayer de l'ouvrir, il n'y eu en un premier temps aucune réaction puis le lieu devient de plus en plus sombre, pour finir par être complétement plongé dans le noir le plus total, Amakuni ne compris pas tout de suite ce qui venait de se passer, mais la reflexion et sa solution ne se firent pas trop attendre, les sceaux étaient destiné à provoquer une genjutsu, une illusion, mais de quel genre. Un homme à barbe blanche, à l'apparence mytique des gravures de Massamune fit apparition, rayonnat dans le noir. Le ninja compris que tout se passait dans son cerveau, il doutait, était il l'héritier, et l'homme interrompa sa réflexion.
« Tu as ouvert la porte protégeant l'outil de force, si tu n'es pas mort à son contacte, c'est que l'outil t'a désigné, que je t'ai désigné, comme mon héritier, et comme tu as pu le comprendre, je ne suis que ce que l'on appelle une illusion, un genjutsu, n'est nu besoin de me parler, tu comprendras ce que je suis bien assez tôt, moi, Massa-Mune. »
Et tout redevint comme au paravant, sombre, lugubre, dans une petite piéce encombré de décombre. Ses mains étaient sur le coffre les sceaux avaien disparu. Il glissa ses doigts le long du coffre et en souleva le lourde couvercle, il renfermait la convoitise du yasutsuna, massamune. Le gigantesque coffre était ouvert, il en sorti l'arme, plus grande qu'une lame habituelle, plus légére, il la dégaina; elle était plus fine et d'une couleur étrange, noir aux reflets arc en ciel, tout comme le coffre qui pesait plusieurs Kilos, voir plus... 'imbougeable'. En la déplaçant elle éméttait un son harmonieux, comme des sons prolongés de harpe, et portait les insignes MM au lieu de MY, cette arme était la perfection à ses yeux. Mais elle dégageait une aura spéciale, étrange, elle fit naître en lui un renouveau, bon, mauvais, il ne le savait pas encore. Puis il la reglissa dans son étuit. Il se posa tout de même une question, la légende ne faisait elle pas référence à des pouvoir ? Il avait remarqué que la matiére de l'arme était différente des armes conventionnelles de son clan, mais ses pouvoirs... Puis, son obtention, le fait de la trouver aussi facilement, sans embuche, sans rien sur son chemin, était ce normal ? Pour lui ça ne l'était pas, une chose au moins clochait. En effet à peine fut il sorti de la forge qu'il tomba nez à nez avec des ninja sans aucun signe distinctif, à part des traillis militaires. Il ne se demanda pas les raisons de leur venu. Massamune à la main, dans son étuit, il attendait une quelconque réaction, une réaction qui ne se fit pas très longtemps attendre. L'un des ninja s'avança unpeu, et prit parole, sans contre façon...
« Bien, maintenant que tu nous as mené ici, tu as nous donner ce que tu as trouvé, ''Ninja de Konoha''... Si tu nous donnes ce qu'on veut, ptetre qu'on t'laissera partir, qui sait ? Allé sois raisonnable, réfléchit, tu es jeune encore pour mourir, tu as la vie devant toi, tu dois fonder une famille... »
« Si c'est la mort que vous voulez, ma foi... »
« La mort... la tienne ! Abattez le !! »
C'était la premiére fois qu'Amakuni alignait autant de mots dans la même phrase, était ce cela le pouvoir de massamune ? Peut être, mais il en serait plus sûr aprés s'en être servi des cibles vivantes, il la dégaina et fendi l'air avec, un son mélodieux s'en dégagea, et il se mit en garde, le foureau dans l'autre main, en guise de bouclier. Et les ninja se lancérent à l'assaut du yasutsuna. Les pouvoirs, finalement, s'en firent ressentirent, les mouvement du jeune Sensei devinrent plus fluide qu'ils ne l'étaient déjà, sa vitesse augmenta comme son agilité, et sa force... passa quasiment du simple au double. L'issu de l'afrontement n'était que trop sûr, Amakuni resta debout au milieu des cadavres de la demi douzaine de shinobi qui l'avaient encerclé, leur sang s'écoulant jusqu'à ses pieds Mais fait étrange, aprés l'affrontement, il se senti plus faible, ou dumoins fatigué, un coup de barre le submergeait, il pensa *C'est donc ça Massa-Mune, tu prêtes ta force, et quand c'est fini, tu la reprends avec les intérêts ? Peu importe... si tu me procures la victoire... et l'accomplissement de mon objectif final...*.
Il remarqua autre chose, aprés le combat il n'eu pas besoin d'essuyer la lame.
Il n'avait plus qu'une chose à faire, repartir sur Konoha.
« Tu as ouvert la porte protégeant l'outil de force, si tu n'es pas mort à son contacte, c'est que l'outil t'a désigné, que je t'ai désigné, comme mon héritier, et comme tu as pu le comprendre, je ne suis que ce que l'on appelle une illusion, un genjutsu, n'est nu besoin de me parler, tu comprendras ce que je suis bien assez tôt, moi, Massa-Mune. »
Et tout redevint comme au paravant, sombre, lugubre, dans une petite piéce encombré de décombre. Ses mains étaient sur le coffre les sceaux avaien disparu. Il glissa ses doigts le long du coffre et en souleva le lourde couvercle, il renfermait la convoitise du yasutsuna, massamune. Le gigantesque coffre était ouvert, il en sorti l'arme, plus grande qu'une lame habituelle, plus légére, il la dégaina; elle était plus fine et d'une couleur étrange, noir aux reflets arc en ciel, tout comme le coffre qui pesait plusieurs Kilos, voir plus... 'imbougeable'. En la déplaçant elle éméttait un son harmonieux, comme des sons prolongés de harpe, et portait les insignes MM au lieu de MY, cette arme était la perfection à ses yeux. Mais elle dégageait une aura spéciale, étrange, elle fit naître en lui un renouveau, bon, mauvais, il ne le savait pas encore. Puis il la reglissa dans son étuit. Il se posa tout de même une question, la légende ne faisait elle pas référence à des pouvoir ? Il avait remarqué que la matiére de l'arme était différente des armes conventionnelles de son clan, mais ses pouvoirs... Puis, son obtention, le fait de la trouver aussi facilement, sans embuche, sans rien sur son chemin, était ce normal ? Pour lui ça ne l'était pas, une chose au moins clochait. En effet à peine fut il sorti de la forge qu'il tomba nez à nez avec des ninja sans aucun signe distinctif, à part des traillis militaires. Il ne se demanda pas les raisons de leur venu. Massamune à la main, dans son étuit, il attendait une quelconque réaction, une réaction qui ne se fit pas très longtemps attendre. L'un des ninja s'avança unpeu, et prit parole, sans contre façon...
« Bien, maintenant que tu nous as mené ici, tu as nous donner ce que tu as trouvé, ''Ninja de Konoha''... Si tu nous donnes ce qu'on veut, ptetre qu'on t'laissera partir, qui sait ? Allé sois raisonnable, réfléchit, tu es jeune encore pour mourir, tu as la vie devant toi, tu dois fonder une famille... »
« Si c'est la mort que vous voulez, ma foi... »
« La mort... la tienne ! Abattez le !! »
C'était la premiére fois qu'Amakuni alignait autant de mots dans la même phrase, était ce cela le pouvoir de massamune ? Peut être, mais il en serait plus sûr aprés s'en être servi des cibles vivantes, il la dégaina et fendi l'air avec, un son mélodieux s'en dégagea, et il se mit en garde, le foureau dans l'autre main, en guise de bouclier. Et les ninja se lancérent à l'assaut du yasutsuna. Les pouvoirs, finalement, s'en firent ressentirent, les mouvement du jeune Sensei devinrent plus fluide qu'ils ne l'étaient déjà, sa vitesse augmenta comme son agilité, et sa force... passa quasiment du simple au double. L'issu de l'afrontement n'était que trop sûr, Amakuni resta debout au milieu des cadavres de la demi douzaine de shinobi qui l'avaient encerclé, leur sang s'écoulant jusqu'à ses pieds Mais fait étrange, aprés l'affrontement, il se senti plus faible, ou dumoins fatigué, un coup de barre le submergeait, il pensa *C'est donc ça Massa-Mune, tu prêtes ta force, et quand c'est fini, tu la reprends avec les intérêts ? Peu importe... si tu me procures la victoire... et l'accomplissement de mon objectif final...*.
Il remarqua autre chose, aprés le combat il n'eu pas besoin d'essuyer la lame.
Il n'avait plus qu'une chose à faire, repartir sur Konoha.
Dernière édition par Amakuni Yasutsuna le Lun 16 Mar - 21:30, édité 1 fois
