~ Fiche sur vous-même ~
Prénom : KarimSurnom : /
Âge : 16 ans
Votre vie : bon faut aller voir la fiche de Kyooki Seiketsu et vous saurez tout^^
Ce que vous aimez : pareil
Ce que vous n'aimez pas : pareil
Qualités : pareil
Défauts : pareil
Niveau RP : pareil
Étiez-vous sur Team Naruto ? : Bon je réponds de nouveau… Oui…
Si oui, avec quel personnage ? : Jin Kazama
~ Fiche de Présentation pour un deuxième compte ~
Pseudo de votre compte principal : Kyooki Seiketsu
Temps libre par semaine (en heures) : environ une dizaine d’heure minimum.
~ Fiche de votre personnage ~
Nom : SeikatsuhiPrénom : Dokyoo
Âge : 19 ans
Village : Konoha
Affinités de Chakra : Suiton puis à voir selon le grade
Description du Personnage :
Physique :
De taille moyenne, Dokyoo présente un aspect qui frappe toujours tout le monde, sa chevelure blanche mi-longue lui arrivant aux épaules. Bien qu’il n’ait que dix-neuf ans, il semblait posséder une telle couleur depuis la naissance, signe de sagesse mais aussi de tristesse. Son visage, lisse et doux, affiche un air déterminé de façon permanente, comme s’il espérait quelque chose ou quelqu’un. Ses yeux, marrons clairs, en disent long sur l’homme qu’il est sous ses sourcils également blanc. Son corps peu intimidant est peu marqué par les cicatrices, il sait faire attentions à ce qu’il entreprend, que ce soit dans la vie civile ou pendant ses missions.
Le jeune Dokyoo est couramment habillé de blanc et de bleu avec des anciens vêtements ninjas. On remarquera le signe du Ying et du Yang au bas de sa tunique. Ses habits lui donnent un air sage et décontracté et sont également utile pour la fluidité de ses mouvements. Fluidité nécessaire lorsqu’on le connaît depuis l’enfance, puisqu’il ne s’est entrainé qu’avec un type d’arme qui n’existe plus à présent, des sortes de kunais améliorés par deux branches métalliques et courbées…
Moral :
Bien qu’il ait l’air mélancolique et attristé en permanence, il n’en est rien si on apprend à le connaître. Dokyoo est un jeune homme dans la fleur de l’âge, fougueux et passionné pour le combat et pour son village, Konoha. Il est toujours en soif de connaissances et adore les missions difficiles et bien que cela soit dur à croire quand on sait sa maladresse de légende, il n’a raté qu’une seule mission qui lui a coûté cher. (cf. histoire)
Certes ce boute-en-train ne semble avoir aucun complexe mais ce n’est sans l’absence d’amis quasi-total. En effet, le jeune homme est tellement absorbé dans le désir de servir le village qu’il oubli souvent son statut de simple habitant, il ne reste jamais chez lui et ne parle à personnes sauf à ses supérieurs ou ses coéquipiers de mission, enfin tout ce qui a un rapport avec le travail quoi… Cette écart vis-à-vis des autres le plonge quelques fois dans une petite déprime mais il se relève toujours rapidement se disant qu’il pourrait se faire des amis plus tard, mais à force d’ignorer tout le monde, est-ce qu’un jour, un shinobi voudra bien être son ami ?
Histoire :
C’était pendant une mission de haut rang que le jounin Keiro Seikatsuhi apprit la naissance de son fils, Dokyoo. Il avait réussit sa mission avec brio ce jour-là et invita tous ses coéquipiers à venir voir le nouveau né. Enthousiaste, il arriva à l’hôpital de Konoha avec un bouquet de fleur pour sa femme. Lorsqu’il vit son fils pour la première fois, ce dernier était endormi et présentait de fins cheveux blancs. Keiro en était content, il disait que son fils avait au moins un trait en commun avec le légendaire Croc Blanc de Konoha, personnage illustre qu’il admirait depuis l’enfance.
Malheureusement, tout cela ne dura pas, trois années après sa naissance, le petit Dokyoo vit sa mère mourir à la maison. On apprit quelques temps après que c’était pendant sa grossesse qu’un virus inconnu s’était développé et avait commencé à lui prendre la vie petit à petit. Le père et le fils vivait seul, aucune femme ne venait à la maison, aucun ami, c’est de là que partait la nature solitaire du petit garçon aux cheveux blancs. Ainsi, les deux individus s’entraidèrent dans leur problème mutuel, ils devenaient un soutien l’un pour l’autre et bientôt, vers l’âge de quinze ans, le petit Dokyoo, maintenant presque un homme devenait chuunin avec les honneurs des anciens du village. Il avait développé un style de combat unique avec son père et cela lui avait valu le prestigieux soutien de tout le village. Il était devenu une idole pour certains, un rival pour d’autres.
Les deux Seikatsuhi, bien qu’aimé de la population ne fréquenté toujours personne. Ils allèrent en mission de rang A ensemble une fois avec un petit groupe de jounins et de chuunins. Ils étaient quatre et leur but était de récolter des informations sur une étrange maison. Une rumeur disait qu’aucune personne n’en était ressortit vivante. Celle-ci était vraie, autour de la maison, plongée dans l’ombre, les cadavres faisaient office de plantes dans un jardin mort. Un peu dégoûté, les quatre shinobis de la feuille entrèrent dans la maison. Et ce fut la fin… Ils furent encerclés par une dizaine de ninjas dont certains appartenant au Bingo Book de Konoha. Les cris et les coups se firent entendre jusque très loin. Le lendemain matin, un vivant rampait vers son village. Dokyoo saignait abondamment et ne pouvait plus se lever. On l’avait laissé en vie comme simple avertissement pour Konoha. Mais le chuunin était traumatisé, il venait de voir ses équipiers se faire couper en morceaux, il venait de voir son père l’appeler à l’aide, lui qui n’avait jamais rien demandé à personne, il avait vu la mort…
Quatre années passèrent et l’évènement n’était toujours pas sortit de sa tête. Il enchainait mission après mission pour oublier ce mal qui lui avait été fait. Les cicatrices occasionnées auparavant n’existaient plus et sa célébrité s’était déchu d’elle-même après son unique échec, on le connaissait plus, on ne le regardait plus, même au moment où il avait besoin de quelqu’un… C’est comme cela que le jeune garçon décida de poursuivre la philosophie de son cher père, mort en mission : celle de rester seul.
[Je n’ai volontairement pas parlé de son grade quatre ans après pour que vous ayez le choix de l’augmenter ou de le rétrograder, j’inventerais quelque chose pour le second cas. J’espère que vous avez eu une bonne lecture.]