Akaï ouvrit la porte doucement, elle n'été pas sous l'emprise d'un sceau ni d'aucun piège. Elle craquela en s'entrebaillant, et il se retrouva, accompagné toujours de son clone, dans une cave sombre, humide. A l'intérieur de celle-ci se trouvait des caisses en bois qui devaient sûrement être leur réserve, il y avait des réfrigérateurs à cause desquels la température de la pièce était extrèmememt basse. Et au milieu, il y avait un gouffre très profond avec des cadavres au fond, des dizaines de corps en décomposition, l'odeur le confirmait. A l'opposé celle-ci se trouve quelques marches qui donnent sur une porte ouverte...
Ils traversèrent tout en calculant les possibilités de sortie et les dangers possible de cette mission, Akaï devait tout prévoir, car en tant que jounin, il ne faut pas faire d'erreur, ça ne lui était pas permis. Il avait appris à tout calculer, tout anticiper, ne pas risquer sa vie en vain. Quitte à se sacrifié, tenter de terminer sa mission avant de céder son âme à la nature.La pièce souterraine pouvait être truffé de pièges jusqu'au passage, alors le jounin envoya son clone en premier au cas où...
Celui-ci passa la porte et se retrouva dans un grand jardin, un somptueux extérieur japonais, de magnifiques arbres, des cerisiers, et du bambou poussait le long des murs. C'est le printemps, et les couleurs sont magnifiques, la lune reflète dans la marre centrale du jardin. La vue est incomparable, pensa Akaï qui voyait le paysage depuis la porte des sous-sol...
* Akaï Kaimetsu : En tout cas, ils ne manquent pas de goûts... *
Le clone avançait tranquillement sur le chemin déja tracer de pavés. Soudain, il fut surpris par un groupe d'oiseau qui s'envolaient. Il observa les lieux sans se précipité. Enregistrant le plus d'informations possible sur le lieux, les conditions extérieurs et la possibilité d'un quelconque danger. Le bunshin était là pour éviter un éventuel ruse de la part des Puristes ou qu'il soit pris par surprise... Le vrai Akaï ne voyait presque plus où se trouver son double tellement le sentier s'étendait.
Un genjutsu, pensa t-il. Mais cette pensée fut brève, car ce n'était pas les mêmes sensations qu'il ressentait. Il était en colère, mais il modérait. Il était triste, mais le gardait pour lui. Il était sur ses gardes mais en aucun cas il n'eu l'impression d'être visuellement abusé...
Akaï, de loin, remarqua des arbres bouger au loin, il s'approchait lui aussi en retrait de son double pour bien garder le contrôle de ce dernier dans ce mini-park. Il se sentait une autre présence en ces lieux, alors il transmis l'information, par précaution, mieux valait se tenir prêt au cas où ils ne sauraient plus seuls... Le bunshin était donc sur ses gardes, la capacité de vision était faible et une attaque éventuelle pouvait surgir de nul part... Ils étaient plus tendu que jamais, la mission n'est pas facile, capturer 3 à 5 ninja puis les ramener au centre spécial.Vivants... Ce serait très délicat mais Akaï, lui ne s'arrêterai pas à ce détaille. La volonté de feu était en lui et rien ni personne ne pourrai l'entamer. Il croyait trop en son village et ses habitants, il savait que ces Puristes ne parviendraient jamais à leur but, en tout cas il l'espérait. Mais les shinobi de Konoha étaient expérimentés, déterminés et solidaires. La Flamme de Konoha était là, elle terrasserai les criminels extrémistes. Tel était la pensée d'Akaï...
Ils traversèrent tout en calculant les possibilités de sortie et les dangers possible de cette mission, Akaï devait tout prévoir, car en tant que jounin, il ne faut pas faire d'erreur, ça ne lui était pas permis. Il avait appris à tout calculer, tout anticiper, ne pas risquer sa vie en vain. Quitte à se sacrifié, tenter de terminer sa mission avant de céder son âme à la nature.La pièce souterraine pouvait être truffé de pièges jusqu'au passage, alors le jounin envoya son clone en premier au cas où...
Celui-ci passa la porte et se retrouva dans un grand jardin, un somptueux extérieur japonais, de magnifiques arbres, des cerisiers, et du bambou poussait le long des murs. C'est le printemps, et les couleurs sont magnifiques, la lune reflète dans la marre centrale du jardin. La vue est incomparable, pensa Akaï qui voyait le paysage depuis la porte des sous-sol...
* Akaï Kaimetsu : En tout cas, ils ne manquent pas de goûts... *
Le clone avançait tranquillement sur le chemin déja tracer de pavés. Soudain, il fut surpris par un groupe d'oiseau qui s'envolaient. Il observa les lieux sans se précipité. Enregistrant le plus d'informations possible sur le lieux, les conditions extérieurs et la possibilité d'un quelconque danger. Le bunshin était là pour éviter un éventuel ruse de la part des Puristes ou qu'il soit pris par surprise... Le vrai Akaï ne voyait presque plus où se trouver son double tellement le sentier s'étendait.
Un genjutsu, pensa t-il. Mais cette pensée fut brève, car ce n'était pas les mêmes sensations qu'il ressentait. Il était en colère, mais il modérait. Il était triste, mais le gardait pour lui. Il était sur ses gardes mais en aucun cas il n'eu l'impression d'être visuellement abusé...
Akaï, de loin, remarqua des arbres bouger au loin, il s'approchait lui aussi en retrait de son double pour bien garder le contrôle de ce dernier dans ce mini-park. Il se sentait une autre présence en ces lieux, alors il transmis l'information, par précaution, mieux valait se tenir prêt au cas où ils ne sauraient plus seuls... Le bunshin était donc sur ses gardes, la capacité de vision était faible et une attaque éventuelle pouvait surgir de nul part... Ils étaient plus tendu que jamais, la mission n'est pas facile, capturer 3 à 5 ninja puis les ramener au centre spécial.Vivants... Ce serait très délicat mais Akaï, lui ne s'arrêterai pas à ce détaille. La volonté de feu était en lui et rien ni personne ne pourrai l'entamer. Il croyait trop en son village et ses habitants, il savait que ces Puristes ne parviendraient jamais à leur but, en tout cas il l'espérait. Mais les shinobi de Konoha étaient expérimentés, déterminés et solidaires. La Flamme de Konoha était là, elle terrasserai les criminels extrémistes. Tel était la pensée d'Akaï...