Une nuit pourtant comme les autres, bordée d'un sommeil profond. Et pourtant, au beau milieu de cette nuit, certaines personnes ne peuvent trouver sommeil. Shiryūka était dans ce cas. Il était victime d'une agitation comme jamais il n'en avait été victime. Il avait comme un pressentiment qui lui interdisait toute fermeture des yeux, mais il n'en connaissait pas l'origine. Il n'avait pas de gros problèmes pour le moment, rien ne l'inquiétait. Rien. Enfin... Il savait que ses proches étaient constamment en danger, notamment son père, l'Hokage. Une troupe de puristes semaient la pagaille dans le village, car ils n'acceptaient la présence d'un "infidèle" dans Konoha. L'existence d'une telle organisation divisait le village en deux, alors que les pêchés de Yoshiko avait été lavé plusieurs années auparavant.
Shiryūka décida tout de même de sortir, prendre l'air. La nuit n'était pas très belle, elle reflétait une nuit sombre et obscure, sans étoile, sans lune... Les rues de Konoha étaient vide, peut être trop vide, d'ailleurs. Il se dirigea vers la tour du Hokage, juste pour marquer son parcours. Une agitation semblait émanait de cette tour, une sorte de précipitation. Shiryūka accéléra et rejoint au plus vite la tour. Plusieurs ANBU sortaient à toute vitesse de la tour, et partaient dans une unique direction, comme à la recherche de quelqu'un. Le jeune Jigoku se précipita et monta les marches de la tour quatre à quatre. Il croisa un ANBU qu'il connaissait, qu'il voyait assez régulièrement.
– Shiryūka, dit-il tristement. Hokage-sama est mort...
Le fils resta figé. Le temps aussi. Tout s'enchainait dans l'esprit de Shiryūka, il essayait d'assimiler les morceaux pour reconstruire l'histoire. Ses genoux tombèrent sur le sol, son corps semblé penché, comme s'il se laissait aller. Son menton était posé contre son torse, il ne regardait plus l'ANBU. D'une voix morne, il répondit :
– Les puristes... ?
– Oui.
– Nom ?
– Yasuro Kyogi.
Ils restèrent un instant face à face, puis l'ANBU s'en alla. Shiryūka resta dans cette position plusieurs minutes, où il était dans un état d'inconscience, de telle manière qu'il n'avait pas entendu son compagnon, Shinku Hado.
Shiryūka décida tout de même de sortir, prendre l'air. La nuit n'était pas très belle, elle reflétait une nuit sombre et obscure, sans étoile, sans lune... Les rues de Konoha étaient vide, peut être trop vide, d'ailleurs. Il se dirigea vers la tour du Hokage, juste pour marquer son parcours. Une agitation semblait émanait de cette tour, une sorte de précipitation. Shiryūka accéléra et rejoint au plus vite la tour. Plusieurs ANBU sortaient à toute vitesse de la tour, et partaient dans une unique direction, comme à la recherche de quelqu'un. Le jeune Jigoku se précipita et monta les marches de la tour quatre à quatre. Il croisa un ANBU qu'il connaissait, qu'il voyait assez régulièrement.
– Shiryūka, dit-il tristement. Hokage-sama est mort...
Le fils resta figé. Le temps aussi. Tout s'enchainait dans l'esprit de Shiryūka, il essayait d'assimiler les morceaux pour reconstruire l'histoire. Ses genoux tombèrent sur le sol, son corps semblé penché, comme s'il se laissait aller. Son menton était posé contre son torse, il ne regardait plus l'ANBU. D'une voix morne, il répondit :
– Les puristes... ?
– Oui.
– Nom ?
– Yasuro Kyogi.
Ils restèrent un instant face à face, puis l'ANBU s'en alla. Shiryūka resta dans cette position plusieurs minutes, où il était dans un état d'inconscience, de telle manière qu'il n'avait pas entendu son compagnon, Shinku Hado.