Habitation Amakuni

Il était de retour, de son escapade en pays de la roche, à Konoha. Son retour lui prit unpeu plus de temps que prévu, son chakra ne s'était pas complétement régénéré, il ne voulut pas riquer de s'éppuiser bêtement, et une simple marche, sans course dans les arbres ne lui fairait aucun mal, il en profita pour étudier ce qui l'entourait, la végétation de la forêt de konoha, sa faune, sa flore. Il fut devant les portes du village qui causa la perte du sien et y entra, sans un mot, les gardes le virent, lui demandérent où il était passé durant cette semaine, lui dirent qu'il avait loupé un entretien avec le Kage, son absence auprés des éléves avait sucité une grande joie. Les éléves, ils étaient bien la derniére de ses préocupation. Il ne répondi pas au interrogation, sauf pour jouer de son statu en leur disant de retourner à leurs postes. Un situation à double tranchant se disait il, profésseur dans le village qui l'avait rendu orphelin. Il marchait dans les rues, sa habitation de fonction n'étaitp lus très loin. A peine quelques minutes, et il fu chez lui. En entrant il posa sur la seule table de la maison la boite en bois exotique, lança son sa lame sur le canapé et posa la Massamune sur la table, en évidence dériére la boite, une boîte qu'il ne tarda pas à ouvrir. Il en sorti quatre flacon, deux blancs deux noirs, les un simple, les autres avec une contre indiction 'ne pas ingérer'. Il s'affalla sur la table et observa, menton face au bois de la table, les quatres flacon, hésitait il ? Non, il pensait.

*Et si il m'avait roulé ? Il aurait pu me donner, certe le poinson, mais pas l'antidote, si j'avale le poison et et que ce n'est que de l'eau ... mm, c'est pas graven de toute façon j'ai pas grand chose à perdre, c'est la vengeance ou la mort... mais échouer si prés du but... serait lamantable, d'autant plus que je suis le dernier des miens... enfin, je ne sais pas...*

Il sorti le papier qu'il avait ramassé dans les rines des forges et le lu et le relu, encore une fois, puis une autre sans comprendre la signification de ces mots, de cette phrase, il le ferait voir à son maître quand il le revérrait... ''Ils sont encore, ils sont aux points de l'étoile''.. Charabiafini t il sur cette lecture, puis il déposa le papier dans la boite en bois qui servait au potion. Il se redréssa, se leva, alla vérrouiller la porte, et se prit à parler seul.

« Une douche... une sieste... et on tente ça... »

Il avait parlé. Ni une ni deux, il parti pour la salle debain, simple, aucune décoration, juste une douche et une autre chaise pour poser ses vêtement. Il enleva les bandeaux couvrant ses main et se rendi compte avec surprise qu'elles étaient brûlées, très faiblement, mais l'étaient quand même. Quelle surprise. Lui qui n'avait pas utilisé de techique Katon nécéssitant les mains, ni n'avait touché quelque chose d'un tant soit peu brûlant, il s'ensouviendrait tout de même. Il y réfléchirait plus tard. Ce n'était pas grave aprés tout, il avait mis la main sur l'arme de son clan. Il y repensa, il n'était peut être pas l'héritier, puisqu'il était seul survivant de son clan. Peut être de la chance. Puis l'eau coula, chaude. Nuage de vapeur, goutelette d'eau goutant, il sorti serviette à la taille, fumant comme s'il avait cuit. Il repassa rapidement dans des vêtement propres, cette fois blanc. Puis il retourna auprés de ses flacons, de ses acquisitions récentes. Il avait l'idée dans la tête, il s'avait ce qui lui restait à faire, mais pour ça il devait être en paix, seul, sans personne ne venant le déranger. Pour ce il se rappela ce qu'il avait convenu, aller dormir jusqu'à l'aube, et se lever pour débuter. Il remonta à l'étage, entra dans sa chambre, la quelle était tapissée de sabre banal, sans rien, un mur ou demeurait deux places vides, celles des ses... sa lame noir sans poignet ni garde. Puis il se coucha sur une plaque en bois posée sur le sol qui lui servait de lit, la piéce ressemblait plus à une salle d'arme qu'autre chose. Il était dix heures du matin quand il se coucha. Et quand il se réveilla, quatorze heures aprés il se sentait bien mieu, apte à faire ce qu'il avait à faire. Dehors il faisait noir, une fois debout il rendit close sa maison, s'assurant que personne ne rodait au dehors, que personne ne puisse le voir, car si quelqu'un venait à le démasquer, il serait sur et certainement dénoncé; et il savait très ce qui lui arriverait, condamné pour partique interdite... Puis il attrapa en passant à côté les affaires qu'il avait laissé là, boite, flacon, massamune, cette derniére qu'il entreposa dans une armoire blindée vérrouillée par une code. Puis il prit le chemin de ses catacombes... Enfin, sa cave enfait. Là se trouvait au milieu une paillaisse, un deuxiéme lit, c'était probablment la chambre destiné à ses invités, il en avait peu, d'invité. L'ambiance était.. morbide, inquiétente, angoissante, térifiante. Il s'asseya sur une chaise dans un coin, et sorti deux flacons de leur boîte, un noir et un blanc. Il décupuchonna le noir l'englouti comme si ce n'était qu'une limonade, le liquide avait un goût sucré, passe partout, digne des plus grands poison, avec ça on aurait pu empoisonner n'importe qui avec grande facilité. Puis il commença à ressentir les effets du poison, il agissait en effet très rapidement; de la sueur coulait le long de son visage, ses membres commençaient à s'engourdir, il n'arrivait déjà plus à se lever, sa vision se troubla, une minute était déjà passée, il ne lui en restait plus qu'une avant de rejoindre le reste de son clan. Il poussa l'expérience à son paroxisme. Gardant le flacon blanc ouvert dans sa main, prêt à l'utiliser, il fit le décompte dans sa tête, tout devenait blanc, six seconde, quatres, des formes commençaient à faire apparition, il ne les reconnaissait pas. Puis il avala le flacon blanc, deux secondes avant la fin. Puis plus rien. Il tomba à la renverse, incoscient. Puis il se réveilla quelques heures aprés, il ne savait pas exactement combien de temps il était resté dans cet état, mais l'expérience qu'il avait mené l'avait enrichi, dequoi ? Il ne le savait pas. *l'antidote n'était pas de l'eau, j'ai eu unpeu de chance* se dit il simplement, comme si il n'avait rien fait d'irréfléchi, ou plutôt de réfléchit et complétement prémédité. Il regarda les deux flacons vides, les ramassa et les remits dans leurs boîte. Ne lui restait plus alors qu'une chose à faire, il gagna le RDC rapidement, composa le code de son armoir, et prit l'arme qui s'y trouvait, la massamune. Il la posa sur la table, prit un bac en métal, versa de l'eau, et déversa le deuxiéme flacon de poison dedans, il se dilua et donna à l'eau une teinte violâtre, et une odeur de fuits. Et il plongea la massamune dans le même bac, complétement, la poignet aussi, qui n'était autre que l'extrémité coupée du katana, l'opération lui prit une demi heure à tout casser, puis il laissa l'arme mariner un moment, pur être sûr qu'elle s'imprégne bien du poison. En attendant, il déversa l'antidote dans l'évier, de maniére à ce que personne ne puisse s'en servir. Amakuni est il une simple personne voulant exercer sa venger sur quiconque le dérrangerait dans sa quête, ou était il simplement démoniaque au point de faire soufrir les gens par le poison ? Ca, personne ne le savait à part lui même et peut être son mentor. Une heure passa, et Amakuni retira la lame de son bain et la posa, lame appuyée contre troi corde pour la faire sécher. Il commença à se diriger vers l'évier pour y déverser la solution mortelle et pensa subitement que s'il fait ça il empoisonnerait certainement la population du village, ce n'était absolument pas son but... il sortit alors dans son micro jardin et versa le contenu dans l'herbe, celle ci fana immédiatement aprés; preuve de la puissance de la chose. Pourquoi avait il fait subir cela à la massamune ? Alors que le poison était à la base déstiné à son autre lame. Quand il prit sa douche, il s'apperç que ses mains présentaient des traces de brulures, il en conclu alors et succintement que ce devait être une lame capable d'absorber le chakra de l'utilisateur, et d'en prendre l'affinité. La sienne était le Katon, d'où les brulures sur ses mains. Suite à cette déduction il pensa que la massa-mune pouvait absober bien plus que du chakra, alors pourquoi pas du poison ? De toute façon, même si cela ne marchait pas ce ne serait pas très grave, il avait déjà acquis beaucoup. Suite à cela il tenta de contacter Ishiro, son mentor, pour lui dire ce qu'il avait fait; la fiole blancce était l'antidote du vin de bachus, et bien Ishiro était à Amakuni ce la fiole blanche était à la fiole noir, un antidote. Il n'eu guére de mal à contacter le sensei, un oiseau méssager, et le tour était joué, à peine quelques heures aprés il était devant chez lui, et frappa à la porte; Amakuni s'empressa d'ouvrir, et l'invita à entrer, rapidement. Le sensei aux cheveux argentés vit l'arme des Yasutsuna reposer sur les filin, la lame trempée, et dans un trait d'humour il dit :

« Par chez moi on fait sécher des linges, des chaussetes, des draps sur les cordes à linges, Pas des épées, de même que par chez moi on ne met pas les armes aulavage... ton atirance les armes plutot que pour les femmes m'étonnera toujours ... sacré Ama va... bon je suppose que tu ne m'as pas fait venir pour me compter tes conquêtes mascline... » fini t il en s'exclafant silencieusment

« Hum... Je préfére les armes aux femmes parce que elles au moins elles servent à quelques choses... Hum mais c'est pas pour autant que je préfére les garçons... bon, je dois te dire quelque chose que j'ai fait il y a peu, la nuit derniére même... je ne veux pas de ton sermon, t'es pas mon pére... » Un blanc « euh... désolé... oui, j'ai testé un poison.. » avoua t il comme un enfant avouerait qu'il à suptiliser un cookie dans le pot gateau.

« Ah ! Du poison ? Tu ne peux pas te contenter de tester quelque chose que tout les adolescents testent ? Arf, non, j'oubliais, tu n'es pas comme tout les adolescents, tu es bien trop mature, et trop borné pour faire comme tout le monde, non, y en a qui prennent de la drogue pour s'éclater, et toi tu prends du poison ... bref, j'en conclue que tu as réussi ton paris, puisque tu n'es pas mort ... c'était comment ?»

« En deux minutes on a pas le temps de ressentir grand chose, bien que ... mais ça ce n'est rien » interrompu par son maitre « Deux Minutes ?! Du bachus, tu as trouvé du bachus ? Comment tu te l'ai procuré hein ? C'est complétement interdit dans le monde entier, et toi, dix sept ans tu en trouves, comme un autre trouverait un dealeur... hum... je ne connais qu'une personne qui en fasse... et ... raa tu lui as donné une de tes lames... tu es incorrigible, et c'est quoi cette autre chose, tu vas m'apprendre quoi encore ? »

« Tu me laisserais finir mes phrases... Déjà, j'ai beau avoir dix sept ans, j'en fait beaucoup plus, ça joue, de deux, je suis juunin Sensei, alors ne me prends pas pour un étudiant sans cervelle, de trois, j'ai retrouvé Massamune, et je l'ai empoisonné »

Incompréhension : « Euh, je ne te suis pas là, tu as retrouvé le fondateur de ton clan, et tu l'as... » interrompu « Non non non... en effet tu piges rien... j'ai retrouvé l'arme de mon clan, comme une intuition, tu vois de quoi je parle ? Un préssentiment, un appel même... et je l'ai trouvé, et empoisonné avec le bachus... tu comprends ? »

« Ah.. tu es fou, si je ne te connaissais pas je dirais que tu es un démon démoniquement démoniaque... Je peux voir l'arme ? La toucher?... » interrompu

« La voir oui... sans problémes, la toucher, ce ne sera pas possible, elle est imbibée de poison, et si elle entre en contacte avec tes mains; ton chakra sera probablement emprunt de poison, et comme ton chakra circule dans ton organisme, tu comprends ?... et j'ai détruit le deuxiéme flacon d'antidote pour éviter que quelqu'un d'autre que moi s'en serve... »

« Oui, tu es fou... Mais toi, tu ne risque rien ? Suis je bête... tu as ingéré l'un des antidotes, tu es donc.. immunisé... je retire ce que j'ai dit, tu es démoniaque.... ment génial, pour dix sept ans seulement, une preuve que ton clan n'était pas bon qu'à manier les épées et à les fabriquer » dit il en un sourir assez crispé.

« Et oui, et il en coûtera cher à celui que je vise, cette arme pourraît être un présent en gage de ma reconnaissance, ou on pourrait tenter de me la voler durant un combat... bien je suis désolé, mais je dois me reposer, je tombe de fatigue. »

« Oué, et moi je dois repartir en mission, car tu es peut être ''Juunin Sensei'', mais moi ... »

« Oué oué, je sais... je suis rien à côté de toi bla bla bla bla.... bla blaaa blaa blabla bla bla ! »

« Tu comprends vite aussi, allé pas de bêtises avec ton nouveau jouet, repose toi bien, et à bientôt Ama ! Allé, bye »

« Bye »

A peine eut il le temps de dire aurevoir, que son sensei disparu dans courant d'air, silencieusement. Enfait, il avait de la chance de voir son sensei, car il était souvent indisponible. En tout cas il avait eu l'approbation de son mentor pour utiliser 'son jouet', une insulte à une telle puissance pensait il, car lui, Amakuni, s'était bien gardé de lui raconter toute l'histoire. Puis rangea le désordre, plaça la Massamune en lieu sûr et alla se coucher, paisiblement, comme si ce qu'il faisait était ce qu'il y avait de plus normal pour un adolescent de son age. Lui qui au lieu de fréquenter des gens de son age, de s'amuser, de sortir, préférait tester es poisons sur lui même, être Sensei, ne penser qu'à la vengeance.

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Suite et fin, Dans le reste du pays, Partie IV/Le venin de la vengeance~